Ces six jeunes toulousains se sont hissés en une paire d’années dans le petit cercle de l’indie-pop à la française. Dignes représentants hexagonaux d’une pop progressive que l’on a plus l’habitude de voir débarquer de Montréal ou Reykjavik, ils savent orchestrer un rock où les éruptions électriques succèdent aux plages planantes, où « la pop de stade ne se bagarre pas avec le rock de garage », selon leurs propres aveux …